Bonjour à tous ! Pour cette nouvelle revue de presse, voici deux articles parus au cours du mois écoulé.
Jésus approuve ce message
Pour commencer, une étude espagnole inédite a interrogé des couples sur leur satisfaction amoureuse et leur pratique religieuse. Le résultat ? Les couples catholiques pratiquants sont 36 % à se déclarer “très satisfaits”, à cinq points au-dessus de la moyenne !
L’article de presse qui relate l’étude (en français, en espagnol) se hasarde à proposer quelques pistes d’explication. Cette satisfaction s’expliquerait par l’unité et la fidélité des couples pratiquants, en accord avec leurs convictions.
Une étude suisse de 2016 avait aussi relevé que la satisfaction dans le couple s’explique par la qualité de la communication et les styles de couples fusionnels. C’est cette qualité qui se traduit sans doute sous la couette, quelles que soient les croyances partagées.
Les couples les plus unis, par la religion ou par autre chose, “valorisent la sexualité comme manière de se mettre en lien avec l’autre plutôt que comme une activité de loisir” selon l’étude suisse. De quoi donner du sens à ses galipettes, et donc de l’épanouissement.
Toutefois, cette odeur de sainteté pourrait ne pas durer pour les Espagnols : la religion y est en recul, comme en France. Espérons qu’ils trouveront un autre moyen de vivre une sexualité épanouissante dans un couple uni !
Quand la peur du pénis dicte la vie amoureuse
Autre sujet plus léger (?), une ancienne candidate de télé-réalité connue (?) sous le nom (?) de Melanight s’est confiée sur sa chasteté féminine. Après avoir été trompée par son ex avec une autre ancienne candidate de télé-réalité, la tristement dénuée de scrupules Martika, notre héroïne a décidé de renoncer aux hommes.
“Je suis chaste depuis le mois d'août, et on est en mars”, a-t-elle déclaré, bien au fait des réalités calendaires, au youtubeur Sam Zirah. Puis, pour illustrer ses confessions reprises par Public, elle ajoute, en réponse à une question sur ses perspectives sentimentales : “J’ai peur des zizis”. Dur, dur…
Lors de l’interview, une chroniqueuse lui a immédiatement proposé ses services pour relancer sa sexualité avec une alternative non-phallique et non-mixte. Mais faut-il vraiment virer sa cuti après avoir été traumatisée ?
N’existe-t-il pas un moyen pour Melanight de dompter le pénis tant redouté, sans renoncer à l’homme qui l’entoure ? Je ne parle pas d’utiliser une cage de chasteté comme remède à l’infidélité masculine, car je ne pense pas que ce soit une solution.
En revanche, quand on a été traumatisée, il est parfois recommandé de s’exposer progressivement à la source de sa peur dans un environnement sécurisant, pour reconstruire un sentiment de contrôle.
Est-ce que j’ai besoin de vous faire un dessin ?
Allez, au moins prochain pour une nouvelle revue de presse !